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 les orientaux, ces suceurs de l'Algérie

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aureschaouia

aureschaouia


Nombre de messages : 34
Date d'inscription : 17/10/2004

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MessageSujet: les orientaux, ces suceurs de l'Algérie   les orientaux, ces suceurs de l'Algérie Icon_minitimeLun 27 Oct - 23:31

Les orientaux, ramenés en Algérie par Boutefliqa sucent l'économie algérienne. Ils viennent s'installer avec 3 Kopecs et engrangent des milliards de dollars de bénéfice...Avec la bénédiction du BriZiDène-à-vie.
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in : http://www.elwatan.com/Ce-que-ne-dit-pas-Naguib-Sawiris

Il a parlé de Djezzy pour masquer « l’affaire » Lafarge
Ce que ne dit pas Naguib Sawiris


« Un investisseur est venu investir 700 millions de dollars et au bout de trois ans a généré un bénéfice de 2 milliards de dollars et l’Algérie n’a rien gagné…


Des investisseurs pareils, on n’en veut pas ! » Pour tous les observateurs, cette violente salve tirée par le président de la République le 26 juillet dernier, lors de la conférence des maires, ciblait prioritairement le patron du groupe égyptien Orascom, Naguib Sawiris. Abdelaziz Bouteflika écumait de rage contre le fait que cette firme ait revendu sa filiale algérienne, la société Ciment blanc d’Algérie holding (Ciba) qui regroupe deux cimenteries (M’sila et Mascara) au géant français Lafarge en septembre 2007, quelques années seulement après son acquisition auprès de l’Etat algérien.

Pour les autorités, ce coup fourré de l’homme d’affaires égyptien s’apparente à une trahison en ce sens que l’Algérie est tenue à l’écart de la transaction. Ceci, bien que légalement rien n’oblige Orascom à tenir informé le gouvernement algérien quant à son intention de céder sa filiale algérienne. Mais le fait est que le milliardaire égyptien a engrangé une plus-value exceptionnelle de l’ordre de 1,5 milliard de dollars sur le dos de l’Algérie, alors qu’il était venu soi-disant investir. Pis, son investissement, si tant est qu’il en fut un, a bénéficié d’un montage financier des banques publiques et privées algériennes comme ce fut le cas d’ailleurs pour sa filiale de téléphonie mobile Djezzy dont les bénéfices sont tout simplement énormes. Faut-il rappeler également que son projet de réalisation de deux lignes de production de ciment blanc et de ciment gris basées dans la région d’Oggaz près de Mascara a été financé à hauteur de 61% par les banques publiques et privées algériennes ? Le coût total de cette opération est évalué à 538 millions de dollars (38,74 milliards de dinars). L’histoire retiendra que jamais une entreprise algérienne ou étrangère n’a mobilisé autant de banques de renom pour concéder un montant aussi important. Orascom l’a fait. Et le président de sa filiale algérienne n’a pas caché sa joie ce jour-là : « C’est un rêve qui se réalise ! », avait déclaré alors le responsable de Ciba. Au bout du compte, ce financement algérien des « investissements » de Sawiris lui a juste permis de mieux vendre à Lafarge. Le vrai rêve c’est donc la cagnotte qu’il a engrangée, mais surtout le pied qu’il a mis dans le capital du groupe français à hauteur de 11,4%.

Le gouvernement algérien n’eut qu’à constater les dégâts d’une politique de privatisation défectueuse et cahoteuse. Et c’est dans ce contexte qu’il faut placer le coup de sang de Bouteflika. Que Naguib Sawiris invite les journalistes algériens au Caire pour raconter sa success story en Algérie ou encore gloser sur l’argent frais qu’il aurait apporté au pays laisse, tout compte fait, les observateurs songeurs. En réalité, cet homme qui flaire les bonnes affaires voudrait transmettre des messages sibyllins à qui de droit. Contre toute attente, il soutient même, avec une assurance déconcertante, que la diatribe de Bouteflika ne cible ni lui ni son groupe… Pourtant, trois mois seulement après le discours présidentiel, le gouvernement annonça un train de mesures destinées à consacrer le « droit à la récupération des entreprises cédées par les opérateurs étrangers et nationaux ». Il y est stipulé que l’Etat est prioritaire « quand le CPE traite avec un opérateur étranger donné, ce dernier n’aura pas, désormais, le droit de vendre son entreprise réalisée en Algérie à un autre opérateur sans avoir l’aval du gouvernement ». Le parallèle est pourtant limpide et la précision tranche avec la belle assurance de Sawiris. Le porte- parole du gouvernement avait même justifié ces mesures par le souci de l’Etat de « préserver l’intérêt national dans le cadre du respect de l’économie de marché ». Il est cependant loisible de deviner le souhait du patron égyptien de faire amende honorable et pourquoi pas redevenir fréquentable dans les salons feutrés du sérail algérois. Il se murmure en effet qu’il a demandé vainement à être reçu par le président de la République pour parler de ses projets. La conférence du Caire était, peut-être, destinée à mettre la puce à l’oreille. Et à bon entendeur…


Par Hassan Moali


Dernière édition par aureschaouia le Lun 27 Oct - 23:59, édité 1 fois
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aureschaouia

aureschaouia


Nombre de messages : 34
Date d'inscription : 17/10/2004

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MessageSujet: La Tribune, ou Pathé Marconi bouteZliquien .....   les orientaux, ces suceurs de l'Algérie Icon_minitimeLun 27 Oct - 23:51

BouteZliqa et son Pathé-Marconi La Tribune !

Alors que la majorité des analystes algériens s'accordent à dire tout le mal fait par le groupe egyptien ORASCOM à l'économie algérienne, voilà que le journal La Tribune (voix de son maitre du clan oujdéen, le Pathé Marconi de la presse algérienne) tire une toute autre analyse !!!!
Brossage dans le sens du poil au maitre des lieux... un brossage cachant 2 milliards de dollars de perte SECHE à l'économie algérienne !!

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in : http://www.latribune-online.com/economie/6812.html

Naguib Sawiris affirme que son groupe n’est pas à vendre
Orascom compte réaliser de nouveaux projets en Algérie
27-10-2008

Par Rafik Elias

Après les folles rumeurs qui ont circulé ces derniers temps à propos d’un probable abandon du groupe égyptien Orascom de ces investissements en Algérie, Naguib Sawiris, le patron du groupe vient d’infirmer catégoriquement ces informations et d’affirmer simplement que «c’est faux». «Je pense que les rumeurs qui ont circulé à notre sujet sont l’œuvre de la concurrence locale ou internationale», a répondu Sawiris aux journalistes. Le patron d’Orascom, qui a rencontré les représentants de la presse nationale en Egypte, a ajouté : «Nous sommes devenus un concurrent sérieux et nous avons réussi à arracher une bonne part d’un marché jusqu’ici exclusivement occupé par certaines firmes.» Selon lui, ces rumeurs sont nées après l’opération financière réalisée par Orascom dans la filière de fabrication du ciment.
Une opération qui a permis également au groupe, selon la même source, d’entrer dans le capital du groupe français Lafarge et même de devenir le troisième actionnaire de ce producteur mondial de ciment.
A propos de la réussite de Djezzy et d’OTA, M. Sawiris a estimé que cet investissement était un défi pour lui.
«On m’a traité de fou et d’inconscient», se rappelle-t-il. «Nous sommes arrivés dans ce pays lorsqu’il n’était pas dans l’air du temps d’y investir ne serait-ce qu’un dollar en dehors des hydrocarbures», a-t-il soutenu. Le groupe Orascom, qui a pu en un laps de temps très court faire de ses investissements en Algérie un modèle de l’investissement étranger, ne compte pas s’arrêter là. D’autres projets sont sur la liste. Les responsables du groupe égyptien comptent ainsi réaliser une cimenterie à Constantine ; elle entamera ses activités avant la fin de 2011. Cette cimenterie devait être initialement implantée en Afrique du Sud, affirment les responsables. Parmi les projets d’Orascom en Algérie, Sawiris a énuméré le lancement, bientôt, d’un institut de formation à but non lucratif qui aura pour mission d’assurer le transfert technologique aux étudiants algériens appelés à intégrer le monde du travail. Ce projet se fera avec la collaboration de nos partenaires en Algérie. Les responsables d’Orascom comptent également lancer une grande campagne publicitaire pour faire connaître aux étrangers la destination Algérie qui recèle de grandes potentialités touristiques. Interrogé sur la saturation du marché algérien de la téléphonie, Naguib Sawiris ne partage pas cet avis. A ses yeux, «le marché algérien n’est pas saturé». La téléphonie mobile n’a touché que 50 ou 60% de la population visée. «N’oubliez pas qu’en Algérie, généralement, une personne détient jusqu’à trois cartes SIM activées auprès des trois opérateurs. Donc, nous avons encore une marge de progression, notamment avec les nouvelles applications en téléphonie mobile qui vont faire leur apparition en Algérie», a-t-il argumenté.

R. E.
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