Je me rends compte que nos "penseurs" (en fait tous ceux du monde arabo maghrébin), ne se réveillent que quand ils sont titillés par les intellectuels occidentaux.
Pourquoi cette subordination, cette soumission, cette réactivité intimement liée à l'attitude de l'Occident?
Quand nos élites s'affranchiront-elles de ce carcan?
Que doit-on faire pour secouer le cocotier et inciter à une autonomie de la pensée?
Et d'abord, cela est-il vraiment possible avec ceux-là mêmes qui pensent quasi exclusivement au ventre et au bas ventre?